Le projet Urku Kama, axé sur la préservation du páramo, reprend vie en 2024 avec une nouvelle génération d’élèves de première, spécialisés en SVT (Sciences de la Vie et de la Terre) et en SES (Sciences Économiques et Sociales). Cette initiative, portée par Yohan Juin, coordinateur E3D de Lycée La Condamine et Emilie Dupuits, chercheuse en sciences politiques et enjeux environnementaux à l’USFQ, s’annonce comme une opportunité captivante pour sensibiliser les jeunes à l’importance écologique du páramo.
Le lundi 4 mars dernier, des ateliers animés par Emilie Dupuits ont marqué le début de cette nouvelle phase du projet. Les élèves ont été initiés à diverses méthodes d’apprentissage, notamment la carte mentale et les jeux de débat, pour explorer les différentes dimensions du páramo. Parmi les sujets abordés figuraient l’imaginaire entourant cet écosystème unique, les services écosystémiques qu’il offre, les menaces qui le guettent et les stratégies de gestion communautaire qui peuvent être mises en place pour le protéger.
Ces ateliers ont offert aux élèves une perspective sur la complexité du páramo et les ont encouragés à réfléchir de manière critique à son importance pour l’équilibre écologique et socio-économique. En les engageant dans des discussions interactives et stimulantes, Emilie Dupuits a réussi à susciter leur intérêt et à les inciter à prendre conscience de leur rôle dans la préservation de cet écosystème vital.
Le projet Urku Kama représente ainsi une opportunité précieuse pour éduquer et inspirer les jeunes générations à devenir des défenseurs engagés de l’environnement, prêts à relever les défis de la conservation et de la durabilité dans un monde en évolution constante.
