🌎 Cultural Learning and Cultural Diversity projects
De plus, au travers de contes, ils ont appris à décrire différents types de vêtements avec leurs couleurs. Ils ont également renforcé la thématique du climat et ce qu’ils doivent porter en fonction de la saison et de la météo.
Pour finir, ils ont découvert différents pays du monde avec leurs tenues vestimentaires traditionnelles, ainsi que leurs climats.
– Students learned to greet, introduce themselves (say their name, age, favorite color).– Mention the country they chose and represent in the project and its flag colors.– Say goodbye in different languages (according to the country they chose).
– Students reinforced greeting and self-introduction (say their name, age, residence country).– Mention the country they chose and represent in the project, its weather, and the typical clothes description.
Proyecto Diversidad Cultural con las clases de CE1
➡️ Cultural Learning Project 3 with teacher Miss Poveda:

🎨 🖼️ Création et rapport aux arts en cours d’anglais pour les élèves des classes de Seconde (07/06/2020).
Pour aborder cette nouvelle thématique du programme de Seconde, la professeure d’anglais Mme Cabin a choisi de faire découvrir aux élèves l’œuvre d’Edward Hopper, peintre américain qui a inspiré de nombreux artistes (artistes urbains, peintres, et aussi cinéastes).
Ainsi, ils ont étudié les caractéristiques du style de Hopper en comparant des tableaux. Les élèves ont facilement repéré son jeu sur les lumières, le clair obscur, les éléments géométriques récurrents (souvent symboles d’enfermement), mais surtout l’atmosphère pesante de solitude et l’impression d’introspection des personnages, souvent isolés.
Hopper a beaucoup peint durant les périodes moroses de la Grande dépression et de la Seconde guerre mondiale.
Les élèves de Seconde A et C ont d’une part dû imaginer les pensées d’un personnage, mais aussi proposer une photo de mise en scène reflétant l’esprit des tableaux de Hopper.
Ce sont ces photos que nous vous proposons de découvrir ci-après.
Certains élèves ont voulu reproduire un tableau, d’autres ont laissé libre court à leur inspiration.
Nous étions loin d’imaginer que le travail d’Hopper serait tout à fait d’actualité et cité dans les médias dans le contexte de confinement que nous vivons avec la pandémie du Covid-19.
‘We are all Edward Hopper paintingsnow‘: ishe the artist of the coronavirus age?
The Guardian, Jonathan Jones, Fri. 27 Mar. 2020.
Withhisdesertedcityscapes and isolated figures, the US paintercaptured the loneliness and alienation of modern life. But the pandemic has givenhisworkaterrifying new significance.
Eerieechoes … Edward Hopper’s Cape Cod Morning, 1950.
Whocanfail to have been moved by all the images of people on theirdoorstepsclapping for the NHS last night? Theyfilled TV screens and news websites, presenting a warmingpicture of solidarity in enforced solitude – all aloneyet all together. But there are some far lessreassuring images circulating on social media. Some people are sayingwenow all existinside anEdward Hopperpainting. It doesn’tseem to matterwhich one.
I assume thisisbecausewe are coldlydistancedfromeachother, sittingatourlonelywindowsoverlooking an eerilyempty city, like the womanperched on herbed in Morning Sun, or the otherlooking out of a baywindow in Cape Cod Morning.
“We are all Edward Hopper paintingsnow,” according to a WhatsApp compilation of Hopper scenes: a womanalone in a desertedcinema, a man bereft in his modern apartment, a lonely shop worker and people sitting far apartat tables for one in a diner. As is the waywithmemes, it’s hard to tell if thisis a serious comment or a glibjokewith a sideorder of self-pity.
Coldlydistanced … Edward Hopper’sNighthawks, 1942.
But let’stakeitseriously. If wereally are all Edward Hopper paintingsnow, a crisis of lonelinessisimpendingthatmaybe one of the mostfraught social consequences of Covid-19. The loss of direct human contact we’reagreeing to maybecatastrophic. This, at least, iswhat Hopper shows us. This painterborn in New York state in 1882 made solitude hislife’swork. In the 1920s, while F Scott Fitzgerald waschronicling the party animals of the jazz age, hepainted people wholooked as if theyhadnever been invited to a party in theirlives.
Modern life isunfriendly in the extreme for Hopper. It doesn’ttake a pandemic to isolatehispoor souls. Cold plate-glass windows, toweringurban buildings whereeveryonelives in self-containedapartments, gas stations in the middle of nowhere – the fabric of modern cities and landscapesis for him a machine thatchurns out solitude. Nor do his people findmuch to do withthemselves.
Atomisedindividuals … Edward Hopper’sMorning Sun, 1952.
It’simages of Hopper’shorrorsthat are beingsharedtoday– and thatisn’ttoostrong a word. One of the painter’sbiggest fans was Alfred Hitchcock, whofamouslybased the Bates mansion in Psycho on a Hopper painting of a strangeold house isolated by a railroad.
We all hope to defyHopper’sterrifying vision of alienated, atomisedindividuals and instead survive as a community. But, ironically, we have to do that by stayingapart and itmaybecruellydishonest – the emptypropaganda of the virus war – to pretendeveryoneisperfectly OK at home.
For the message of Hopper isthat modern life canbeverylonely. His people are as isolatedamongothers in a diner or restaurant as they are attheirapartmentwindows. In thisheistypical of modernist art.. In normal times, wesitalone in cafes, too, exceptwe’venowgot mobile phones to make us feel social. The factisthatmodernitythrows masses of people intourbanlifestylesthat are totallycut off from the gregariousnessthatwas once the norm.
In pre–industrial times, Bruegel’sscenes of peasant life show a world in whichitwaspractically impossible to bealone. Kitchens are crammed and carnivals a nightmare for anyonepractisingphysicaldistancing. Lookingat Bruegel, youcanseewhymany people in Britainweresoreluctant to give up pubs – those last refuges of the Bruegelianpast.
Wechoose modern lonelinessbecausewewant to be free. But now the art of Hopper poses a tough question: when the freedoms of modern life are removed, what’sleft but loneliness?
Enseignement d’Anglais avec Mme Cabin : jeux sur l’origine des mots, l’influence et l’enrichissement de la langue (spécial Semaine de la francophonie)
Voulez-vous, comme les élèves, jouer au « Petit Bac » ?
En français et en anglais ?
Les élèves ont joué par paires, et étaient en compétition avec leurs camarades
Travaux en anglais d’élèves de Seconde sur la Prohibition des années 1920-1930 aux États-Unis
Présentation audio des élèves accompagnée de leurs propres illustrations :
CHANGE THE WORLD
Les élèves de Seconde B et de Seconde C ont travaillé avec Mme Cabin sur une séquence intitulée : Change the World (Changer le Monde).
Leur projet final était de concevoir, par groupe de deux, la pochette d’un CD qui compilerait des chansons liées au thème de changer le monde.
Ils devaient en élire une, justifier leur choix, et la chanter avec la classe.
Ce projet a beaucoup motivé les élèves et a fait appel à leur créativité. Ils ont finalement choisi une des chansons proposées par les différents groupes et ont décidé de s’enregistrer ensemble.
- Les élèves de Seconde C ont retenu la chanson Somewhere over the Rainbow, composée par Harold Arlen en 1939 :
- Les élèves de Seconde B ont choisi de chanter Wind of Change, composée en 1991 par Klaus Meine, chanteur du groupe allemand Scorpions :
Ce projet est devenu interdisciplinaire puisque Mme Zapata, professeur de musique, a grandement aidé les deux classes pour la réalisation de ce chant choral.
À noter également que des élèves du programme d’échange scolaire ADN-AEFE ont pu participer, avec joie, à ce projet participatif.
Ci-après quelques dessins réalisés par des élèves qui ont été inspirés par ce thème de « changer le monde » :
Enseignement d’Anglais avec Mme Cabin : L’autoportrait
Les classes de 3ème A et C ont travaillé dans différentes matières sur l’autoportrait. En cours d’anglais, après avoir découvert les œuvres et techniques de plusieurs photographes du monde anglo-saxon, les élèves ont fait leur propre photo autoportrait, à la manière d’un de ces photographes, de celui qui les inspirait le plus, et justifié leur choix. Voici quelques exemples de leurs productions, sans les textes cependant, pour ne pas alourdir cette présentation.
A la manière d’Andy Warhol :
![]() Andy Warhol 1986 |
![]() Emma Galbe 3A |
![]() Andy Warhol 1986 |
![]() Nicolas Mc Labry 3A |
A la manière de Cindy Sherman :
![]() Cindy Sherman 2011 |
![]() Ariana Tapia 3A |
A la manière de Francesca Woodman :
![]() Francesca Woodman 1977 |
![]() Francesca Woodman 1977 |
![]() Joaquin Hidalgo 3A |
![]() Kharl David 3D |
A la manière de Man Ray :
![]() Man Ray 1938 |
![]() Airene Arizaga 3A |
![]() Claudia Banderas 3D |
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![]() Man Ray 1916 |
![]() Julian Colina 3A |
![]() Man Ray 1948 |
![]() Daniel Landazuri 3A |
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A la manière de Vivian Maier:
![]() Vivian Maier 1953 |
Dominique Ayala 3A |
![]() Ariana Trujillo 3D |
![]() Gabriel Valarezo 3D |
![]() Emilia Hidalgo 3D |
![]() Gabriel Cancel 3D |
Les élèves de 2nde B et C ont travaillé cette année, dans le cadre de la thématique Création et Rapport aux Arts, inscrite dans leur programme, sur différentes œuvres de l’artiste américain Edward Hopper. A travers ces tableaux ils ont découvert par eux-mêmes les techniques et thèmes récurrents abordés par le peintre, en lien avec les contextes de la crise économique de 1929, de la seconde guerre mondiale et de l’après guerre. Les idées de solitude, d’enfermement, d’isolation, d’austérité sont des constantes de l’œuvre d’Hopper.
![]() Cape Cod Morning, 1950 |
![]()
Compartment C, 1938 |
![]() Hotel room, 1931 |
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Les élèves se sont mis en scène à la manière d’Hopper. Voici quelques exemples de leurs photos :
![]() Salomé Riofrio 2C |
![]() Suzanne Vazquez 2C |
![]() Rommina Rueda 2C |
![]() Eduarda Jarrin 2C |
![]() Manuela Burbano 2B |
![]() Rebeca Benaim 2B |
![]() Carla Espíndola 2B |
![]() José Miguel Granja 2B |